La rage chez le raton-laveur, mythe ou réalité?

 

Cet article a pour but de démystifier certaines craintes, fondées ou non, que nous avons envers
les diverses espèces qui constituent notre écosystème urbain.

La plupart des appels que nous recevons commencent par un moment de panique, suivi d’une
urgence d’intervenir : «venez la tuer!» ou «venez la capturer!».

D’une part, il faut savoir qu’un pourcentage élevé de notre intervention revient en fait au
propriétaire des lieux, à qui nous donnerons conseils et recommandations. D’autre part, notre
intervention réelle se limitera souvent à communiquer de bonnes informations et à rassurer
notre client.

Ainsi, dans le cas des ratons-laveurs, les gens craignent souvent de contracter la rage.

Au Québec, cette maladie est désormais absente chez cette espèce, aucun cas n’y ayant été
recensé depuis plusieurs années. Bien sûr, la vigilance est toujours de mise et des efforts
d’échantillonnage constants sont nécessaires pour éviter une recrudescence des cas. Cela dit, le
raton-laveur est donc à classer dans la catégorie des espèces dérangeants, à divers niveaux,
mais assurément pas des espèces dangereuses pour le public. Pour ce qui est des parasites que
cet animal pourrait potentiellement transmettre à l’humain, la règle d’or est toujours d’éviter
d’entrer en contact direct avec l’animal ou ses déjections.

Pour le reste, il s’agit toujours des mêmes conseils :

-rendre votre environnement immédiat le
moins attrayant possible pour les diverses espèces qui constituent la faune urbaine.

-Éliminer les sources de nourriture à proximité des bâtiments (poubelles mal fermées, mangeoires d’oiseaux,
bol de nourriture pour animaux domestiques).

-Sans oublier les mots magiques : exclusion
mécanique.

Donc, qu’il s’agisse de souris, de rats, de ratons-laveurs, de moufettes ou de
marmottes, la règle est la même : limiter les entrées possibles et les sources de nourriture. Cela
est valide qu’il s’agisse de votre poulailler urbain, de votre cabanon, de votre garage ou de votre
résidence. Ainsi réduites, les intrusions non désirées seront beaucoup plus faciles à identifier et
à gérer!

En d’autres termes, plus on s’informe sur une espèce donnée, plus on est en mesure d’évaluer
les risques réels de sa présence dans notre environnement. D’autre part, l’homme a une grande
responsabilité face à la faune qui l’entoure. Presque chaque rencontre désagréable dérive d’un
manque de vigilance ou de prévention. C’est pourquoi nous insistons grandement sur la
prévention lorsque nous abordons le sujet de la gestion parasitaire.

 

Par: Marie-Joëlle Touma

-Contrôle de la Qualité chez Boisvert Gestion Parasitaire inc.

 

Technicien en gestion parasitaire, un métier plus essentiel qu’on ne pense!

 

 

Des souris ont élu domicile chez vous pour l’hiver? Vous travaillez dans les cuisines d’un hôpital et vous voulez vous assurer de la salubrité des lieux? Peut-être êtes-vous dans le domaine agricole et entreposez vos récoltes dans un entrepôt?

Voici seulement quelques exemples de situations qui ne peuvent tout simplement pas attendre la fin d’une pandémie!

En effet, plusieurs métiers essentiels sont liés les uns aux autres, et sont finalement tous liés à nous! Nous sommes les gardiens de la salubrité dans les domaines alimentaire, agricole, institutionnel, résidentiel et bien d’autres.

Les solutions

Bien sûr, des solutions maison existent, et des produits en vente libre sont disponibles. Par contre, il est toujours préférable de faire appel à des professionnels. Pourquoi? Parce que la plupart des solutions maison ne feront que déplacer le problème ou l’empirer. Aussi, les produits en vente libre représentent un danger pour vous et vos animaux, ainsi que pour l’environnement.

Technicien en gestion parasitaire, une science intégrée

Le technicien, avec ses connaissances de l’écologie des espèces, pourra d’abord utiliser des solutions sans produit chimique. Ensuite, si nécessaire, les bons produits, dans la bonne concentration et en bonne quantité, seront appliqués. Le tout, en prenant les mesures de protection nécessaires. Cela évitera les impacts sur l’environnement et les autres êtres vivants.

Nous ne pouvons assez insister sur ce point. Prenons l’exemple des punaises de lit, qui deviennent rapidement un problème pour tous les habitants d’un même bâtiment. Aucune solution maison ne sera suffisante pour les exterminer. En fait, vous risquez de vous exposer, vous et votre famille, à des produits nocifs pour votre santé. Mais le problème persistera. Il est donc préférable de faire appel à des professionnels. Comme nous somme classés parmi les services essentiels, nous nous déplacerons chez vous, en respectant des consignes sanitaires très strictes. Cela faisait déjà partie de notre métier à la base après tout! Vous vous sentirez en sécurité chez vous.

À l’échelle commerciale ou institutionnelle, il est impossible de considérer des solutions maison pour la gestion parasitaire. Un programme intégré et continu est nécessaire.

L’arrière-scène de la pandémie

En pandémie, notre métier est vu sous une toute autre lumière. En effet, c’est seulement depuis mars 2020 que les gens sont conscients des possibles pénuries. Si l’on se penche particulièrement dans le secteur alimentaire, pensez au rôle que le technicien en gestion parasitaire peut avoir pour protéger tous les entrepôts de ressources alimentaires des diverses attaques parasitaires! Le métier de technicien en gestion parasitaire est essentiel pour une population en santé et en salubrité!

Grâce aux techniciens en gestion parasitaire, tout le monde peut continuer de se concentrer sur leur tâche essentielle. Dans tous les domaines, nous sommes derrière vous pour assurer un environnement exempt de menaces liées aux espèces nuisibles. Nous maintenons le programme de salubrité des institutions pour que celles-ci puissent continuer d’opérer de manière sécuritaire.

 

Par: Marie Joëlle Touma

-Biologiste et contrôle de la qualité chez Boisvert Gestion Parasitaire inc

 

Les guêpes au Québec

Les guêpes sont méconnues et, de ce fait, inquiétantes. Notre philosophie, chez Boisvert Gestion Parasitaire, est de vous informer afin de vous aider à relativiser les dangers et à prendre les bonnes décisions, accompagnées des bons comportements.
En premier lieu, il importe de savoir que le terme guêpe englobe plusieurs insectes dont beaucoup ne sont pas nuisibles. Certaines (guêpes parasitoïdes) sont même utiles pour nous aider à contrôler les populations d’autres insectes.
En ce qui a trait à l’identification, il faut évidemment être en mesure de distinguer les abeilles des guêpes. Comme une abeille et une guêpe peuvent toutes deux se présenter dans différentes teintes de jaune, blanc, brun ou noir, parfois d’une seule teinte et parfois bicolores, la couleur n’est pas un bon critère d’identification. Un moyen plus sûr est de regarder l’abdomen de l’insecte, qui sera distinct du torse et lisse chez la guêpe, alors que le corps de l’abeille est trapu et poilu. Fait à noter, la langue de la guêpe est trop courte pour butiner et elle ne possède pas les organes nécessaires pour récolter le pollen. Ainsi, peu de chances que l’insecte tournoyant autour de vos fleurs soit une guêpe.
Avant de sauter aux conclusions et de déclarer que les guêpes ne sont pas utiles puisqu’elles ne peuvent pas participer à la pollinisation, sachez qu’elles remplissent deux autres rôles importants dans un écosystème urbain ou rural. D’abord, elles chassent les mouches et les chenilles pour nourrir leurs larves, ce qui contribue au contrôle de ces insectes. Ensuite, elles servent elles-mêmes de proies aux petits mammifères, aux oiseaux et aux araignées, ce qui contribue à l’équilibre des écosystèmes.
Attaquons maintenant le sujet chaud : quels sont les réels dangers de côtoyer des guêpes et comment s’en protéger. En connaissant mieux leurs comportements, il devient facile de prédire leurs actions.
Sachez d’abord qu’il existe plusieurs espèces de guêpes dites solitaires, qui ne possèdent pas de dard ou dont le dard est inutilisé. Ceci comporte les guêpes fouisseuses, pompiles et maçonnes, ainsi que certains insectes qui portent le nom de guêpe mais n’en sont pas réellement (guêpes à galles, guêpes parasitoïdes).
En ce qui concerne les guêpes sociales (vivant en colonies et fabriquant un nid), elles sont plus à craindre, de par leur habilité à piquer, et ce, parfois plus d’une fois, à l’aide de leur aiguillon dépourvu de harpon (ce qui, contrairement à l’abeille, ne fait pas en sorte que le dard reste pris dans notre chair et déchire du même coup l’abdomen de l’insecte, le condamnant ainsi à mort).
Voici donc comment se protéger de telles guêpes. La première chose est d’effectuer une inspection de votre terrain et de vos bâtiments en début de saison (début de l’été). Les nids des guêpes sociales sont faits de papier et sont facilement reconnaissables. En début de saison, le nid sera si petit, et les guêpes, si peu nombreuses, que vous pourrez détruire le nid sans difficulté ni danger, en fin de journée de préférence. Une fois un nid plus établi, cette tâche nécessitera l’intervention d’un professionnel ou de la tolérance jusqu’au mois de novembre, alors que le nid sera déserté. On suggère aussi de tolérer la présence d’un nid s’il est situé loin d’une zone fréquentée par vous et vos enfants.
Certains comportements sont aussi à intégrer dans votre routine pour éviter les contacts inutiles avec les guêpes.
En début de saison, elles recherchent de la nourriture protéinée pour nourrir leurs larves. On recouvre donc les grillades lors de repas extérieurs et on évite de laisser dehors un bol de nourriture pour les chats du voisinage.
Les guêpes recherchent aussi les aliments sucrés, même si elles ne butinent pas. On recouvre donc les breuvages et on évite les parfums et produits d’hygiène fruités. Il convient aussi de ne pas laisser les fruits tombés de notre arbre fruitier (pommier, poirier, prunier, etc.) pourrir au sol.
Conseil valide dans tous les cas, y compris dans la gestion d’autres espèces telles les ratons-laveurs, souris, rats, etc., il convient de toujours entreposer les poubelles dans des contenants fermés et placés à l’écart de votre bâtiment. Autre conseil valide pour se protéger de plusieurs dangers : éviter de marcher pieds nus à l’extérieur, que ce soit dans le gazon, les herbes ou le sable.
Voici maintenant quelques conseils pour cohabiter avec les guêpes. En premier lieu, on essaye d’éviter de trop s’approcher d’un nid, car on pourrait ainsi susciter une réponse défensive de la part des ouvrières. En second lieu, si une guêpe est en quête de nourriture et nous tourne autour, on reste calme et on ne la chasse pas avec des gestes brusques.
Lors de grands rassemblements, certaines personnes utilisent un piège à guêpes, mais il faut respecter certaines contraintes afin de ne pas amplifier le problème. Ainsi, on placera le piège à l’écart des gens, car les appâts augmentent le trafic de guêpes. Il faut aussi savoir qu’il est important de ne pas utiliser un appât sucré, qui piègera les abeilles, mais bien un appât protéiné (comme de la nourriture pour chat mouillée). Il faudra aussi veiller à n’utiliser cette méthode que de manière ponctuelle, pour ne pas favoriser l’implantation d’une colonie à proximité de notre lieu de rassemblement.
En cas de piqûre, il importe de désinfecter la plaie et de consulter un professionnel de la santé si l’on est inquiet pour les allergies ou pour l’ampleur de l’enflure. Par contre, il est intéressant de connaître certains remèdes insoupçonnés. En effet, comme le venin des guêpes est constitué de protéines, il sera inactivé par la chaleur ou l’acidité. Ainsi, en approchant le lieu de piqûre d’une source de chaleur (entre 50 et 55 °C, soit de l’eau chaude du robinet) ou en appliquant du jus de citron ou du vinaigre, on peut réduire l’efficacité du venin. Le froid vient ensuite réduire l’inflammation et la douleur pour notre propre confort, mais n’est pas un moyen de lutte contre le venin.
L’ultime recommandation, lorsque vous êtes aux prises avec des questions ou un problème de guêpes, est de résister à la tentation de vous procurer des produits vendus en quincaillerie. Ces derniers ne seront pas adaptés à vos besoins, et les impacts d’une mauvaise utilisation seront grands sur l’environnement et votre santé. Nous vous encourageons fortement à nous appeler, car nous pourrons vous aider à mieux juger de la situation et de la bonne solution.

 

Par: Marie-Joëlle Touma

-Biologiste et contrôle qualité chez Boisvert Gestion Parasitaire inc

 

Traitement exclusif des fourmis charpentières aux appâts

La fourmi charpentière est passée maître dans l’art de cohabiter avec nous sans y être invitée. Cependant, en y regardant de plus près, nous l’invitons chez nous sans même nous en douter, parfois sans même le savoir.

Avant de déclarer la guerre aux fourmis charpentières, quelques recommandations s’imposent. La première recommandation est d’éviter d’agir de manière impulsive, c’est-à-dire en courant à la quincaillerie du coin pour se procurer un insecticide en vente libre. En effet, cela n’aurait que des effets néfastes. Les insecticides en vente libre sont peut-être assez puissants pour tuer les insectes que vous verrez directement, mais ils auront un effet très négatif sur votre objectif. En effet, la force évolutive de la fourmi charpentière est sa grande capacité de communication et d’organisation de la colonie. La mort des quelques fourmis peut entrainer le déclenchement de signaux d’alarme dans toute la colonie, menant à différentes stratégies. En général, la colonie tentera d’assurer sa survie en se subdivisant en plusieurs colonies satellites. Ce phénomène se produira aussi si vous tentez d’écraser les fourmis que vous rencontrez. Le mieux est toujours de localiser le nid principal, mais cela s’avère impossible lorsqu’il se trouve à l’intérieur de la structure d’un bâtiment.

Boisvert Gestion Parasitaire propose d’intervenir contre les fourmis charpentières en deux étapes. La première est, évidemment, l’inspection des alentours. Peu de gens sont conscients d’à quel point nous invitons les fourmis charpentières sans le savoir. Vieilles souches pourries sur le terrain, accumulation d’eau près du bâtiment, parties de structures délabrées, encombrées ou pourries, etc. sont autant de zones propices au développement d’une colonie de fourmis charpentières. Avant d’exterminer, il faudra donc réduire au minimum les attraits en périphérie du bâtiment.

Dans un deuxième temps, Boisvert Gestion Parasitaire préconise l’utilisation d’appâts pour l’extermination d’une colonie de fourmis charpentière qui aurait eu l’audace de s’implanter chez vous. Cette méthode présente de nombreux avantages, dont celui de permettre d’atteindre les méandres du nid à l’aide d’appâts toxiques que les fourmis y ramènent. Nul besoin d’arracher cadres de portes, moulures, etc. pour trouver le nid (ce qui, de toute manière, alerterait la colonie), car les fourmis se chargent de rapporter le poison à leurs pairs. Cette méthode est volontairement un peu plus longue en termes de temps, car on ne tue pas les fourmis instantanément comme avec des pesticides traditionnels. Cependant, compte tenu de la diminution du risque d’alerter la colonie et de se retrouver avec un problème exponentiellement plus gros, nous pensons qu’il s’agit d’un compromis tout à fait acceptable. Cela est sans compter l’avantage indéniable lié à la réduction de l’utilisation de pesticides, ce qui en réduit inévitablement la présence dans l’environnement immédiat, ainsi que les risques de contamination pour les enfants et les animaux de compagnie.

Il faut toujours garder en tête, lorsqu’on est aux prises avec un problème de gestion parasitaire, que chaque espèce possède ses propres caractéristiques en termes de reproduction, d’alimentation, d’habitat et de comportement. Il est donc impératif de bien s’informer et, de préférence, faire affaire avec un professionnel qui saura vous conseiller sur la méthode optimale dans le but de gérer votre problème dans les meilleurs délais et de la meilleure manière.

 

Marie-Joëlle Touma

-Biologiste et contrôle qualité chez Boisvert Gestion Parasitaire inc

 

Pandémie? La Gestion Parasitaire en continu!

 

Que fait Boisvert Gestion Parasitaire pour aider et protéger ses clients et ses employés pendant la période sensible de la COVID-19

Le métier de technicien en gestion parasitaire est, à priori, bien loin des pensées des citoyens en cette période d’incertitude où tout doit être calculé, tant en termes de contacts interpersonnels que de dépenses pour les particuliers et entreprises. Saviez-vous que le métier de technicien en gestion parasitaire est considéré comme un service essentiel en cette période de confinement? Vu de l’extérieur, certains pourront en être étonnés, mais penchons-nous sur le sujet de plus proche et la conclusion sera d’une évidence déconcertante.

Par conséquent, Boisvert Gestion Parasitaire tient à signifier à tous ses clients l’importance de maintenir les services d’inspection et de suivi, même en temps de fermeture ou de réduction des heures et employés de votre entreprise. En effet, la plupart des espèces nuisibles ont une activité plus grande lorsque les humains sont absents et les lieux, sombres et tranquilles. Certaines espèces, dont les souris et les fourmis, profiterons de l’absence de tout dérangement pour se reproduire plus rapidement que d’ordinaire. Pour la même raison que l’on coupe l’eau lorsque l’on quitte la maison pour une période prolongée, on devrait maintenir les services de gestions parasitaires lorsque l’on ferme boutique. Le but est bien simple, éviter de se retrouver avec des pertes de denrées et des frais de nettoyage et d’extermination coûteux, surtout après une période où les revenus seront à la baisse. En d’autres termes, investir un peu pour éviter de perdre gros. Imaginez les dommages que peut faire une colonie de souris ou de fourmis charpentières en quelques semaines. Il en va de même pour les mouches, guêpes, rats, pigeons, etc. Cela est sans compter les problèmes de salubrité directement liés à toute infestation en raison de la présence d’excréments et d’urine. En d’autres termes, même si la production est suspendue et que les quantités entreposées sont réduites, les frais de nettoyage, désinfection et extermination peuvent s’élever rapidement, et ce, avant même que la production puisse reprendre normalement.

Il va sans dire que Boisvert Gestion Parasitaire assure également un service d’urgence pour tout nouveau cas de punaises de lit ou tout autre problème dont il serait inimaginable de reporter la gestion à plus tard.

Parallèlement à cela, il est important de mentionner que toute l’équipe de Boisvert Gestion Parasitaire se tient précisément à jour des nouvelles recommandations des autorités gouvernementales en ce qui a trait à la protection du public. Les gants et masques font déjà partie intégrale de l’équipement de base de tout technicien en gestion parasitaire, mais nous respectons en plus de cela toute consigne émanant des autorités dans le but de respecter le protocole mis en place en cette période de pandémie. Soyez donc assuré que nos employés respectent les périodes de mise en quarantaine au besoin et portent des combinaisons à usage unique lors de visites chez les clients.

Boisvert Gestion Parasitaire et toute son équipe vous appuie en cette période et adaptera ses services à vos besoins particuliers. Notre but est d’alléger vos soucis lors du retour à la normale de la situation. Nous nous engageons à lutter pour que vous n’ayez pas à le faire!

Par -Marie-Joëlle Touma

Biologie/Contrôle Qualité, chez Boisvert Gestion Parasitaire inc

 

Les fourmis Charpentières

Les fourmis charpentières sont des insectes dont nous avons tous entendu parler, mais que la plupart des gens connaissent très mal. Pourtant, les biologistes, les écologistes, les entomologistes et, bien sûr, les techniciens en gestion parasitaires, les ont largement étudiées et les trouvent fascinantes.

Le mode de vie, le mode de reproduction, l’organisation de la colonie et les stratégies de survie des fourmis charpentières en font un sujet intéressant pour le technicien en gestion parasitaire. Bien sûr, le commun des citoyens peut se douter qu’il y a certaines bonnes habitudes à prendre dans le but de prévenir l’établissement d’une colonie de fourmis charpentières dans un bâtiment ou à proximité de celui-ci, qu’il s’agisse d’un bâtiment résidentiel ou commercial. Ne pas garder de structures en bois pourri, éviter les réserves de matériaux en périphérie du bâtiment et éliminer les souches d’arbres morts se trouvant sur le terrain sont des exemples de mesures qui nous viennent tous rapidement à l’esprit.

Cependant, lorsqu’on est aux prises avec la présence de fourmis charpentières, nos connaissances plafonnent souvent et cela nous mène parfois à entreprendre des démarches qui pourront potentiellement empirer la situation ou nuire à l’environnement ou à la santé des humains et animaux.

Le technicien en gestion parasitaire est celui qui aura l’œil pour identifier d’autres éléments à modifier dans l’environnement immédiat du bâtiment. Il sera également celui qui saura prendre des décisions quant à l’intervention à faire dans le but d’éviter que la colonie s’agrandisse ou se scinde. Il devra aussi déterminer la ligne du temps optimale pour ses interventions. Tous cela n’est possible qu’en déployant toutes les connaissances techniques associées au métier de technicien en gestion parasitaire, et les informations biologiques et comportementales spécifiques à l’espèce à l’étude, soit la fourmi charpentière.

Par: Marie-Joëlle Touma

-Biologiste/contrôle qualité chez Boisvert Gestion Parasitaire inc

 

 

Travailler en Gestion Parasitaire

Le métier d’exterminateur est, sans contredit, un métier d’arrière-scène. En d’autres termes, le technicien en gestion parasitaire est celui sur qui s’appuie toute la stratégie de prévention et de gestion des biens et des denrées afin d’assurer la protection du consommateur et du public. Personne n’y pense vraiment, mais derrière chaque cafétéria, chaque restaurant, chaque usine, se trouve un technicien en gestion parasitaire qui veille au grain. Dans un monde où le souci de l’environnement est grandissant et où chaque investissement est calculé, le technicien en gestion parasitaire doit déployer de solides connaissances théoriques et techniques, en plus d’une expérience sur le terrain, afin d’entrevoir, prévenir et gérer les comportements des diverses espèces qui peuvent tenter de partager ou contaminer nos ressources. Toutes les interventions du technicien sont basées sur ses connaissances des espèces en question, des techniques et des produits disponibles. On ne gère pas les fourmis charpentières dans un chalet de la même façon que l’on intervient pour les mouches dans une usine ou que l’on prévient la présence de rongeurs dans un bâtiment.

Le défi principal du technicien en gestion parasitaire est d’être en mesure d’évaluer une situation, non pas seulement en termes du problème soulevé et apparent, mais en termes de cause, de structure du bâtiment, de mode de vie des espèces rencontrées, et du souci de la protection de la santé et de l’environnement. En bref, l’essentiel de son travail réside en la prévention des problèmes grâce à ses connaissances multidisciplinaires dont la moyenne des gens ne pourrait même pas se douter. L’objectif est d’en arriver à devoir intervenir pour un réel problème d’infestation le moins souvent possible et en dernier recours.

Le métier de technicien en gestion parasitaire s’inscrit, malgré ce que l’on peut en penser, dans un domaine en pleine évolution et à la fine pointe des connaissances biologiques, chimiques et techniques.

 

Marie-Joëlle Touma

-Biologiste/Contrôle Qualité chez Boisvert Gestion Parasitaire inc

 

Le métier de technicien en gestion parasitaire vous intéresse?

Boisvert Gestion Parasitaire est une entreprise familiale 100 % québécoise, spécialisée dans la lutte antiparasitaire. Depuis la fondation de notre compagnie, notre équipe s’efforce à répondre aux besoins grandissants des habitants et des entreprises en matière d’extermination et de décontamination. Nous croyons que chaque résidence, commerce et industrie mérite un technicien d’expérience offrant un service personnalisé. Forte de plus de 30 ans d’expérience dans le domaine, notre équipe a développé des techniques de gestion parasitaire éprouvées.

Un technicien en gestion parasitaire a la responsabilité de maintenir les programmes de gestion parasitaire chez notre clientèle, maintenir son inventaire de camion à jour et effectuer les travaux d’extermination résidentiels au besoin. Le programme de contrôle parasitaire conçu pour les entreprises se base sur les principes de la Gestion Parasitaire Intégrée. La Gestion Parasitaire Intégrée (GPI) utilise plusieurs pièges qui servent à contrôler ou éliminer les insectes et les rongeurs, en appliquant le moins de pesticides possible.  Chaques bâtiments ont des caractéristiques qui lui sont propres. Chaque programme de GPI est conçu en gardant l’environnement, le type de structure et le type de production à l’esprit. Le technicien en gestion parasitaire devra comprendre ces principes et les appliquer

Alors c’est simple! Toi qui lis ce texte :

– si tu aimes le travail sur la route;
– si tu aimes faire ton horaire durant la journée;
– si le contact avec les gens est une priorité;
– si le travail de nature technique tu adores;
Alors cet emploi est sur mesure pour toi.

Afin d’avoir le privilège de travailler avec une équipe dynamique, dans une ambiance familiale et aussi faire partie d’une belle et jeune PME Québécoise;
Tu devras :

– Posséder ton certificat CD5 du ministère du développement durable
– Être autonome et débrouillard (e)
– Être manuel (le)
– Être ponctuel
– Avoir un permis de conduire valide

Tsé le futur (e) chanceux (euse) sera habillé(e) pour travailler, aura un véhicule de fournit ainsi qu’un téléphone pour travailler.
Le salaire est à discuter selon expérience et/ou potentiel.

Si tu crois avoir ce qu’il faut pour faire partie de l’équipe, envoies tout de suite tes coordonnées au [email protected].
Discrétion assurée si tu as déjà un job… 😉
On fait juste jaser, ça t’engage à rien…
Au plaisir